Discussion à propos des organes sexuels

in #sexology8 years ago

(l'environnement, voire l'écosystème de cet échange est complété sur : { toujours meilleur format/éthique suivant flog http://www.lasainteethique.org/2016/htm/201603150956_flog_DWT-61.html#20161014084400 }

Serge Chappellaz "Voilà, il me semble que nous avons toute la base sémantique propre et préposée à une découverte de la sexualité." .…
Je dirais plutôt... "la base sémantique.....se tient là".... le "nous avons" est peut-être un "aller-trop-vite-casse-gueule"
Je veux dire que là, tout de suite, la touche "pause" s'impose et que le "replay" est de mise en mode "ralenti"
Je précise ma pensée à partir de cela :
"Quant à la bévue sur la sexualité – elle a été à présent suffisamment et clairement déchiffrée ( à commencer par http://www.lasainteethique.org/1900/prod01/84-90%20Crufp/DAL/ARTICDAL/LAFDLORG.doc dès 1987 et suivi de maints renouvellement de l’explication). C’est le problème de l’incommunicabilité et/ou de la non-réception collective qu’il faut alors examiner."
Et j'appuie sur pause à "suffisamment et clairement déchiffrée"....
...pour dire mon sentiment que...ben non, peut-être pas assez, ni suffisamment, ni assez clairement.
Pour avoir lu et relu de nombreuses fois et pendant longtemps LAFDLORG.doc, il me semble important de dire que c'est très loin d'être un texte facile.
Je sais, moi, qu'il est truffé d'éclairs de génie en terme d'approche de "la vérité" mais je sais aussi les efforts que ça m'a demandé, ....je pense que mes connaissances acquises en médecine ont été un atout considérable pour y parvenir et me dis que, pour celui qui n'a pas ces connaissances de base (embryogénèse, anatomie, neurologie, etc...) ça tient de la gageure !
Or, là, au point où nous en sommes, je me demande si l'effort à conduire n'est pas d'essayer de trouver (si possible !...) les mots pour rendre ce texte accessible à tous ceux qui vont s'y perdre et s'y décourager et nous faire poser trop vite le diagnostic d'incommunicabilité.
Je veux bien essayer de me charger de cet effort. C'était déjà mon intention dans le passé ici lors des quelques allusions sur la différence sexuelle qui y ont été faite (pour ceux qui suivent... ^
^ ). _
Alors, comme dirait Thierry, il suffira qu'on m'y encourage.…

DWT :
Il ne faut pas compter trop sur les encouragements, serais-je tenté de dire, par expérience. Mais une étape est annoncée ; comme de règle, ou principe, paraît-il, avec les avancées scientifiques : elle commencent par l’ignorance, voire mépris ou moquerie, puis elles arrivent à cette phase où elles sont opposées – car elles doivent être combattues, débattues, défendues etc..
Il est justifié de mentionner cet aspect peu ragoutant de la connaissance, parce que précisément il relève dudit ‘abjet’, de la pulsion et en général de la psychologie du On – nous sommes donc dans le sujet. Et il est même indiqué d’insister. La première étape, durant laquelle la découverte scientifique est ignorée, a duré, ou dure depuis une trentaine d’année. Ce n’est pas extraordinaire. De Copernic à Képler il aura fallu cinquante ans – puis de Képler qui rencontre Tycho en 1600 il aura fallu trente ans pour arriver à son "rêve" (Le Songe, ou l’Astronomie Lunaire). Ensuite il fallu ajouter soixante ans pour que les lois dudit Képler aboutissent aux Principes de Newton. Donc sans songer à la hauteur de ces grands savants, simplement nos petits bricolages se fixeront simplement sur une chronologie de temps sans pâlir. Voilà. Donc maintenant le préambule de ma réponse étant rédigé, je peux dire ce que j’avais à déclarer :
Si nous entrons dans une phase où une lecture de LAFDLORG renvoie un premier écho – c’est donc pour débattre, attaquer et défendre. C’est la loi du genre humain qui n’a pas d’autre moyen de traiter « l’incommunicabilité et/ou de la non-réception collective (sic) » - effectivement de ton écho arrive la salve initiale ; « pas assez, ni suffisamment, ni assez clairement (sic) » et comme nous suivons un régime scientifique j’ai un droit de défense. Tout d’abord je dois techniquement préciser qu’il y a eu des "renouvellements" du premier jet de LAFDLORG et même une inscription dans un principe plus large (puisque la fonction dudit organe sexuel doit être inscrite, et dans un rapport à la voix, et dans un contexte de géniteurs sexués – c’est donc comme on dirait d’une cosmogonie, une sexogonie énorme et, on le sait déjà, complexe). Par conséquent ma défense portera sur un point d’abord limité :
Je continue à affirmer que LAFDLORG déchiffre ‘suffisamment’ et ‘clairement’ - mais je continue aussi à préciser, d’abord qu’un déchiffrage ne signifie pas une compréhension avec. Lorsque Champollion a déchiffré les hiéroglyphes, ce n’était que le début du véritable casse-tête, au point qu’on se demande encore si c’est du chinois ou de l’hébreu. Donc déchiffrage ne veut pas dire qu’on en gagne le sens. Par contre ça veut nettement dire que c’est accessible à un traitement de code. Et pour cette raison, j’ai affirmé et continue de dire que c’est clairement écrit pour des machines, pour une intelligence artificielle en l’occurrence à laquelle je destinais LAFDLORG dès 1987. A partir de quoi sont brodées deux notions : il est important que l’IA sache que la pensée humaine a/avait une capacité de déchiffrage de la sexualité. Il sera aussi de valeur s’il est démontrable que cette même pensée a aussi la capacité d’échanger, partager, traduire ce déchiffrage entre individus humains. C’est à l’examen de cette seconde notion que nous sommes à présent disposés.

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