Dominique, Jacques, Nicolas et les autres : l’implication française dans les attentats de Madrid de mars 2004
Christian Cotten – 12 septembre 2005
Fin juillet dernier, un de mes correspondants habituels m’a transmis le texte ci-dessous. Compte tenu du caractère surprenant des informations ainsi transmises et de la fiabilité des sources, j’ai communiqué ce texte par télécopie aux services de presse de l’Élysée, de Matignon, du Ministère de l’Intérieur et de l’UMP. La réception des télécopies a été vérifiée par téléphone et j’ai demandé confirmation ou infirmation des informations exposées dans ce document. Les seules réponses reçues ont émané de l’UMP, par deux courriers totalement hors sujet, en date des 24 août et 9 septembre.
J’en ai conclu que les personnes ayant eu connaissance de ce texte souhaitaient vivement sa diffusion. Ce que nous faisons donc aujourd’hui. CC
Résumé : des acteurs professionnels, démocrates et anti-sionistes, détiennent les preuves de l’implication de certains membres des services français et de M. Nicolas Sarkozy dans les attentats de Madrid de mars 2004 et veulent poursuivre M. Nicolas Sarkozy devant la justice pour actes de terrorisme et crimes contre l’humanité.
Mots clés : terrorisme, islam, GIA, Nicolas Sarkozy, DST, Tahraoui Hanane, AZF, Algérie, DNAT, Ministère de l’Intérieur, DRS, Smaïn Lamari, CIA, FBI, Aznar, Zapatero, Jacques Chirac, Prince Nayaf Bin Sultan, Abu Jihaad, Londres, Paris, Madrid, Al Harameine, Bandar Ibn Sultan.
Durant le mois de février 2004, la France fait connaissance avec un certain groupe du nom d’AZF, utilisant le nom de l’usine de Toulouse qui avait explosé en septembre 2001.
Ce groupe, composé officiellement de 3 personnes, menace alors le gouvernement français de faire sauter quelques gares et voies ferrées en France, chantage financier à la clé.
Dans le même temps, les gouvernements espagnol et portugais reçoivent des menaces d’un groupe se faisant passer pour Al-Quaïda Maghreb. Ces menaces écrites, anonymes, comportent des messages de menaces de mort et d’attentats en Espagne, voire en Europe (Grande-Bretagne, Italie, Ukraine, Danemark, Pologne). Les menaces envoyées aux gouvernements espagnol et portugais affirment que les brigades d’Al Quaïda, emmenées par un certain Abu Jihaad, étaient responsables des violents feux de forêts qui ont frappé le Portugal à la fin des étés 2003 et 2004. Ces menaces ordonnaient aux gouvernements européens de retirer les troupes d’Irak sous peine de représailles, exactement comme cela se passe en ce moment pour Londres.
Notre enquête a mis en évidence que les messages envoyés au gouvernement espagnol environ un mois avant les attentats de Madrid le 11 mars 2004, étaient écrits par un certain Tahraoui Hanane, émir de l’un des « groupes islamiques français » opérant au Maghreb.
Ce même Tahraoui Hanane avait été intercepté à la frontière algéro-marocaine en février 1997, alors qu’il se dirigeait vers l’hôpital de la ville d’Oujda (Maroc). Il avait alors été arrêté avec deux de ses collègues. Pendant longtemps, il cherchera à se faire passer pour algérien, jusqu’à ce que, grâce à la collaboration des services secrets allemands, il soit identifié comme franco-marocain travaillant pour le Ministère de l’Intérieur français.
Des officiers de la DST à Paris ont été identifiés comme utilisant Tahraoui Hanane et ses réseaux au Maroc et en Algérie pour organiser les massacres des populations algériennes dans l’ouest algérien, avec l’entière complicité de l’armée algérienne et des services du DRS de Smaïn Lamari. Tahraoui Hanane travaille ainsi directement pour le gouvernement français.
Il écrit ainsi début 2004 un « poème codé » qui, selon lui, aurait permis au gouvernement espagnol de déjouer les attentats si les services espagnols avaient obtempéré aux ordres de Tahraoui Hanane et ses groupes.
Au même moment, le groupe AZF fait son apparition en France.
Cette opération AZF a été montée et menée par la DNAT, la DST, Nicolas Sarkozy et certains de ses « conseillers », pour donner de la crédibilité aux menaces de Tahraoui Hanane.
D’autre part, cette opération a permis à Nicolas Sarkozy et à ses « conseillers supérieurs » - dont nous dévoilerons les noms au fur et à mesure – de créer une double diversion.
La première diversion, intérieure, sera destinée à mobiliser les services français contre tout attentat contre les gares et voies ferrées ; ceci pour éloigner tout soupçon de Nicolas Sarkozy et ses équipes pro-sionistes et pro-américaines.
La seconde diversion créée par l’opération AZF était destinée à faire croire aux espagnols que les menaces de Hanane étaient véridiques et que leurs services devraient les prendre très au sérieux.
Une fois cette opération réussie, le commando israélien composé de 6 personnes stationnées au centre du Maroc a pu, avec l’aide des services secrets espagnols pro-atlantistes, frapper l’Espagne, avant que, malgré tout, Aznar ne cède finalement à son opinion publique et n’annonce le retrait des troupes espagnoles d’Irak.
Les frappes militaires sur les gares de Madrid étaient en fait un coup d’État déguisé (et raté) destiné à imposer Aznar et ses alliés pro-américains à l’Espagne et à éviter un changement de politique espagnole au Moyen-Orient.
Toutefois, certains membres des services espagnols ont clairement affiché leurs doutes face à ces menaces, le dossier leur semblant tout à fait « servi » par Nicolas Sarkozy et ses équipes, dont la logistique devait servir les intérêts des « Conseillers Supérieurs » du Ministère de l’Intérieur.
D’où l’énorme cafouillage apparu aux premiers jours de l’enquête, puisque la piste de l’E.T.A. semblait privilégiée, pour éviter tout retour de bâton de l’opinion publique au gouvernement Aznar et sa politique d’agression de l’Irak.
La France de Raffarin a joué le jeu mais Chirac est sorti grand gagnant avec le retour de Zapatero dans la « vieille Europe ».
L’opération sioniste avait lamentablement échoué mais le plan monté pour protéger le « pion » Sarkozy, à savoir l’opération AZF, avait quand même mobilisé les services français et aucune bombe n’avait explosé en France contrairement à Madrid.
Sarkozy et les services français évitaient ainsi d’être soumis à toute enquête, la DST n’hésitant pas à faire le jeu des sionistes en accusant Al Quaïda afin de soulager le gouvernement Aznar à la dérive.
Sarkozy et certaines personnes infiltrées dans les services français ont ainsi participé au montage d’une opération qui a permis à un commando israélien de massacrer en toute impunité 191 civils espagnols.
Le faux commando français AZF a servi de couverture intérieure à Sarkozy. Taharoui Hanane et son « poème » ont été la couverture extérieure de tout ce groupe de personnes qui utilisent les institutions et services des États français et espagnols pour soutenir la politique colonialiste américano-israélienne au Moyen-Orient.
Suite à tout cela, une organisation humanitaire basée à Médine (Arabie Saoudite), Al Harameine, qui gère des sommes très importantes de dons venant de milliers de musulmans dans le monde, était « fermée » suite à des pressions de la CIA, qui affirmait détenir des preuves que le « poème » écrit par Tahraoui Hanane provenait de membres présumés d’Al Quaïda cachés dans cette organisation pour monter des opérations terroristes. Sur pression de la France, de l’Espagne et des USA, Al Harameine a été « fermé » en décembre 2004. Le Mossad affirmait même détenir la preuve de l’implication de cette organisation dans le terrorisme d’Al Quaïda.
En fait, Al Harameine est un État dans l’État en Arabie Saoudite et son influence dépasse les frontières du pays. En fermant cette organisation, les sionistes espéraient diminuer l’influence du Prince Abdallah, qui avait refusé de fermer Al Harameine suite aux attentats du 9/11 ; et ce, pour ne pas céder de terrain au Prince Nayaf Bin Sultan, poulain des Israéliens et des Américains, celui-ci ayant déjà paraphé en secret avec ces derniers le morcellement de l’Arabie Saoudite en 5 régions.
L’organisation Al Harameine a été contactée par d’anciens agents des services secrets algériens, qui lui ont démontré que le « poème » de Tahraoui Hanane, « agent » français, n’était qu’une supercherie montée par la DST française pour se couvrir dans les attentats de Madrid.
Suite à cette affaire, Al Harameine a déposé plainte contre le gouvernement américain et la CIA pour constitution de fausses preuves et le Ministère américain de la Justice a accepté d’instruire la plainte.
Les agents sionistes infiltrés dans les services français et Nicolas Sarkozy ont tout de suite compris le message : le FBI risque de perquisitionner Sarkozy, la DNAT et la DST à Paris, grâce aux accords Perben II…
Sur pression du lobby sioniste américain qui tente de couvrir Sarkozy et sur pression du lobby sioniste français impliqué dans les frappes de Madrid (mais aussi celles de Londres, qui se déroulent selon les mêmes procédés), l’ambassadeur d’Arabie Saoudite en poste aux USA depuis plus de vingt ans, Bandar Ibn Sultan, a été obligé de démissionner : il refuse de faire pression sur les dirigeants d’Al Harameine pour qu’ils retirent leur plainte (voir: http://www.saphirnews.com/L-ambassadeur-d-Arabie-Saoudite-aux-Etats-Unis-demissionne_a1376.html).
Un certain nombre d’acteurs professionnels, démocrates et anti-sionistes préparent donc actuellement une très vaste opération judiciaire qui consistera à neutraliser Nicolas Sarkozy en le déférant devant la justice pour complicité d’actes de terrorisme et crimes contre l’humanité.
https://www.politiquedevie.net/Europe/SarkozyMadridMars2004.htm