Les effets des somnifères disparaissent moins vite chez les femmes
L'organisme féminin élimine plus lentement les psychotropes que celui des hommes.
Un exemple ? Le zolpidem (Stilnox) : l'Agence américaine du médicament a alerté en janvier 2013 sur le risque d'action prolongée du zolpidem et de ses génériques chez les femmes.
Huit heures après sa prise, elles sont en moyenne 3 fois plus nombreuses à présenter une concentration significative du somnifère dans leur corps. Dangereux pour celles qui prennent le volant le matin. D'où la nécessité d'adapter les doses en fonction du sexe afin d'éviter les accidents.
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