The Man in the High Castle, une série qui vaut le détour
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« The Man in the High Castle » nous plonge dans un univers dystopique dans lequel les Forces de l’Axe (l’Allemagne nazie, l’Italie de Mussolini et l’Empire du Japon) ont remporté la seconde Guerre Mondiale.
Bien qu’étrange, le scénario n’en est pas moins complet ; ici pas d’explosions, de chars d’assaut, comme dans bon nombre de films.
L’histoire se passe principalement aux États-Unis, au début des années 60, divisés en trois parties distinctes, à l’est, le « Greater Nazi Reich », à l’ouest les « Japanese Pacific States », et au centre, une région dite « neutre ».
Dans cette série, il n’est pas seulement question de résistance, mais aussi de conflits internes entre les différents partis qui se partagent le monde depuis la capitulation américaine. Cet équilibre se voyant fragilisé par la découverte de films compromettant l’ordre mondial.
Source, le monde dans la série.
Vous suivez donc divers protagonistes ou antagonistes issus de différents horizons ; un ministre japonais, un jeune orfèvre qui aspire à vivre mieux – mais pas que –, un marchand d’art qui semble vouer un profond respect à la culture nippone, une jeune femme cherchant l’aventure, ou encore un ancien soldat américain devenu SS.
Cette série est l’adaptation de la nouvelle éponyme de Philip K.Dick « The Man in the High Castle » ou « Le maître du Haut Chateau ». Toutefois, ces deux œuvres diffèrent sur plusieurs points : certains personnages n’existent pas dans le roman, tandis que des personnages de la série n’agissent pas de la même manière que dans le livre.
Je vous laisse la bande-annonce ici.
J’espère vous avoir donner envie de jeter un coup d’œil à cette série – ou bien à la nouvelle de K.Dick – malgré le fait que je n’ai pas voulu donner trop d’information. Bien que me dévoiler certaines choses ne me dérange pas, ce n’est pas le cas de tout le monde, et je respecte cela.
Sur ce,
La bise cordiale !