Visualisation de l'impact du COVID-19 sur l'aviation: d'un point de vue continental

Introduction

Tout d’abord, le cas confirmé cumulatif de COVID-19 et le nombre du trafic aérien en 2019 et 2020 est analysé dans cette présentation en six continents: océanie, afrique, asie, europe, amerique du nord et amerique du sud.

Analyse

L'abscisse indiquent les mois d’une année, l'ordonnée à gauche indique le nombre de vol, qui corresponds aux courbes rouge et bleu. L’ordonée à droite indique le nombre cumulatif de cas confirmés de COVID-19, qui corresponds à courbe d’or.

D’apres les figures, on voit qu'en 2019, le nombre de vols est resté stable tout au long de l'année. En 2020, le nombre de vols a chuté vers février, correspondant à l'épidémie mondiale de COVID-19. Par la suite, le volume de vol s'est lentement rétabli.

les restrictions de voyage internationales et nationales de certaines pays sont ajustées en réponse à l'épidémie de COVID-19. les cas de COVID-19 en Afrique et en Océanie ont soudainement augmenté en août, 2020. ensuite, la quarantine est adopté par certaines pays. Puis des récessions en forme de V sont présentées en octobre, lorsque l'épidémie de COVID-19 est sous contrôle dans ces deux continents, qui sont de brèves périodes de forte baisse suivies d'une reprise rapide.

Pendant ce temps, une deuxième épidémie de COVID-19 a résurgi en Europe depuis octobre, qui a contraint la plupart des gouvernements à revenir en restrictions de voyage ou en quarantine. Le trafic a montré une tendance à la baisse sur la figure. À la fin de 2020, le nombre de vols d'Europe a réduit de 67% par rapport au août 2020, le mois le plus chargé depuis la première vague de l’épidémie de COVID-19.

A l’asie, la tendence du nombre de vol est pareil comme les autre continents au debut. Pourtant, le nombre de vol continue d'augmenter après la crise de la première vague. La raison possible est que l'épidémie est sous contrôle.

Comme l’asie, le nombre de vol à l’amerique du sud continue d'augmenter après la crise de la première vague. Cepandent, le nombre de vol est instable après aout. Cela peut être dû à la gravité de l’épidémie aux États-Unis, et la prise de décision du gouvernement sur le COVID-19 est toujours faible par rapport à d’autres pays.

Pour étudier plus en détail l'impact du COVID-19 sur le trafic aérien, les comparaisons du volume mensuel du trafic mondial entre 2019 et 2020 sont présentées dans la Figure. Début 2020, en janvier et février, le volume de trafic a bien augmenté par rapport à 2019. Le nombre total de vols en février 2020 est 1,4 fois plus élevé que celui de février 2019. A cause de l'épidémie de COVID-19, le nombre de vols a commencé à baisser considérablement en mars 2020. Le nombre de vols en avril 2020 est 68% inférieur à celui de février 2020, et 63% inférieur au nombre de vols en avril 2019. Fin 2020, le volume du trafic aérien est revenu à 70% du volume en Décembre 2019. En Amérique du Nord, où il n'y a pas de politique de quarantine stricte, le marché domestique du trafic aérien est toujours grand. Le 7 novembre 2020, le nombre de vols est de 36 000, qui est revenu à 92% du volume en novembre 7, 2019. Cependant, en Asie où de nombreuses destinations avons adopté des restrictions de voyage strictes, le nombre de vols est de 10 000 le 7 novembre 2020, soit seulement 54% du volume au 7 novembre 2019.

La pandémie de coronavirus a frappé le marché de l'aviation en raison du quarantine et des restrictions de voyage. Même si certains pays ont commencé à se rétablir alors que la propagation du coronavirus est contenue. Compte tenu de l'impact de la deuxième vague d'épidémie de COVID-19 et de l'émergence du variant, la reprise du volume de trafic n'est toujours pas optimiste.

Étant donné que la gravité de la pandémie sur chaque continent varie dans le temps, l'évolution du trafic de fret aérien de chaque continent en 2020 peut être nettement différente. La figure montre la tendance du trafic de fret aérien sur six continents en 2020. Le trafic de fret aérien mondial est relativement stable après l'épidémie de COVID-19 avec un cycle hebdomadaire. Cela peut s'expliquer par le fait que le fret aérien n'est pas influencé par les restrictions de voyage. En général, le trafic aérien est plus stable que le trafic passagers. Le trafic de fret aérien le plus élevé à l'Amérique du Nord, ce qui est logique en raison de situation et le commerce électronique bien développé en Amérique du Nord. On peut observer une forte augmentation en décembre en raison du transport de vaccins. Il faut noter que certains aéroports de fret importants en Asie sont absents de notre données, ce qui signifie que le trafic de fret aérien réel devrait être plus élevé en Asie que ce que nous avons observé dans la figure. La variation en Amérique du Nord est plus évident qu'en Asie. En outre, il y a une baisse à la fin de janvier pour l'Asie, principalement due au fait que la plupart des les services sont suspendus. Le volume du trafic de fret aérien européen est plus petit qu'en Asie et en Amérique du Nord et la variation est similaire. Par exemple, quand il y a une baisse en Asie à la fin du mois de janvier, même à partir du 12 mars, En 2020, le trafic de fret aérien européen a diminué d'environ 40%, ce qui est en phase avec la restriction complete dans le pays européen. L'augmentation du volume du trafic en avril est principalement due à la la croissance de la capacité des équipements de protection a été adaptée. De plus, il était difficile de trouver des masques de protection individuelle dans les pharmacies avant avril en Europe, alors qu'après avril cette situation a changé. Le trafic de fret aérien européen devient stable après juin 2020. Le fret aérien en Océanie, en Amérique du Sud et en Afrique est moins occupé que les autres continents et est relativement stable après la pandémie.

Il existe de grandes différences entre les politiques émises par les différentes régions. Par conséquent, il est de notre intérêt de procéder à une analyse approfondie des performances produites par les politiques gouvernementales, cette étude inclut l'Angleterre à l'économie européenne. Nous avons sélectionné quatre dates critiques et dessiné toutes les routes de vol réelles (nationales et internationales) dans les régions distinctes.
Dans cette étude de cas, nous considérons l'Union européenne comme une région comparable à la Chine et les États-Unis L'Angleterre étant toujours en transition de quitter l'Union européenne en 2020. Dans l'intervalle, le Conseil de l'UE a recommandé une levée progressive des restrictions temporaires aux voyages entrant dans l'UE à partir du 1er juillet 2020.

Bien que les autorités américaines aient prévu de rouvrir les économies en juillet 2020, les États les plus touchés par le COVID-19, notamment la Californie, l'Indiana et le Nouveau-Mexique, ont pris des mesures pour reporter ou révoquer les plans gouvernementaux de réouverture des économies, comme les États-Unis ont enregistré le Le plus grand pic de 50 000 nouveaux cas par jour le 1er juillet.

Bien que les autorités américaines aient prévu de rouvrir les économies en juillet 2020, les États les plus touchés par le COVID-19, notamment la Californie, l'Indiana et le Nouveau-Mexique, ont pris des mesures pour reporter ou révoquer les plans gouvernementaux de réouverture des économies, comme les États-Unis ont enregistré le Le plus grand pic de 50 000 nouveaux cas par jour le 1er juillet.

Conclusion

• Nos résultats suggèrent une corrélation directe entre le nombre de vols et les cas confirmés de COVID-19 dans les régions spécifiques.
• Le fret aérien a un grand potentiel d'expansion et de contribution significative à l'économie. L'industrie aéronautique sera davantage impactée à long terme par la pandémie de Covid-19.

Remerciement

• Source: Opensky COVID-19 dataset: https://opensky-network.org/community/blog/item/6-opensky-covid-19-flight-dataset
• ENAC Acedemic group